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Deux facteurs peuvent entraîner une traction sur la paupière du bas. Le premier est un manque de tonus de la paupière causé par le vieillissement; ce phénomène varie d’un individu à l’autre. Comment l’évaluer? En maintenant le regard droit devant, on tire la paupière vers le bas et on la relâche. Si elle revient brusquement en contact avec l’œil, c’est bon signe; si on a le temps de compter deux, trois, quatre secondes pour le retour, c’est qu’il faudra retendre la paupière lors de la chirurgie.
L’autre facteur tient à la quantité de peau qu’on pourra enlever. Au cours de l’opération, la peau est souvent libérée jusqu’à l’os de l’orbite et le chirurgien l’étale comme on étale un drap sur un lit; ce qui dépasse l’incision peut être enlevé, mais le chirurgien ne peut pas augmenter la tension pour en enlever davantage. Quant aux rides qui persistent, il faudra accepter de vivre avec elles, car leur présence est beaucoup plus acceptable qu’une paupière décollée de l’œil (ectropion) ou tirée vers le bas.
Pour retoucher la paupière du haut, il faut parfois lui enlever de la peau. Lorsque les sourcils sont trop bas, remonter le front est parfois la seule option envisageable, car enlever de la peau à la paupière du haut aura peu d’effet. Si les sourcils sont à la bonne hauteur et que le chirurgien fait un lift frontal, cela risque de donner au patient un air ahuri. Il est hors de question que la chirurgie produise cet effet et un bon chirurgien saura éviter ce piège.
Un facelift trop tiré fait en même temps pourrait apporter ce genre de changement, mais pas une chirurgie limitée aux paupières.
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